Garcia : « Maintenant, il faut avancer »

Sur le site officiel du Racing, Jean-Louis Garcia évoque les premiers contacts avec Antoine Sibkerski, nouveau directeur sportif du club, et Luc Dayan.

Connaissiez-vous Antoine Sibierski ?
Personnellement, non. Mais je l'ai suivi comme joueur puisqu'il est aussi passé par le FC Nantes, et il y a fait de très belles choses. C'était un joueur que j'ai beaucoup aimé, notamment lorsqu'il est monté en position de neuf et demi en deuxième partie de carrière. Comme il l'a dit très justement, c'était quelqu'un qui avait peut-être des moyens athlétiques limités mais qui sentait le football, qui avait une remarquable intelligence de jeu. Cela me laisse à penser que l'on va être sur la même longueur d'onde en termes de philosophie de jeu et de valeurs humaines. J'ai lu aussi sa première interview, et je me sens très proche de cela. J'ai vraiment hâte de parler avec lui de vive voix, d'échanger, de connaître sa vision des choses parce que cela reste bien sûr un travail collégial.

Vous espérer que le travail fait en amont puisse aboutir malgré ces changements de personnes ?
J'ai entendu beaucoup de choses cohérentes de la part des gens qui sont arrivés. Déjà, leur première mesure a été de faire signer officiellement Jérôme Le Moigne, et de me l'envoyer. Ca tend à prouver qu'ils ne veulent pas casser tout ce qui a été bien fait auparavant. Il y a une vraie qualité d'écoute sur ce qui a été proposé. Maintenant, on va discuter. On va voir mais je pense que l'on a affaire à des gens intelligents qui ne sont pas là pour casser ce qui a été fait. Ils savent très bien que l'on a essayé de tirer les conséquences de la saison dernière, et que le choix des recrues a été fait en fonction de ce qui nous a manqué, et également en fonction d'une certaine mentalité. Donc, hormis s'ils ont des choix équivalents et de nouvelles idées, je ne vois pas pourquoi ils s'opposeraient à ce que l'on avait décidé.

Les premiers contacts vous ont donc plutôt rassuré...
Oui. Les discours que m'ont tenu Luc Dayan et ensuite Antoine, au téléphone, sont plutôt rassurants. Maintenant, il faut avancer.

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