Atrous : « Je suis tellement content »

Appelé à rejoindre l'Equipe de France durant quelques jours, en attendant l'arrivée des trois gardiens, Samuel Atrous confie sa joie et sa surprise d'avoir été appelé pour ce stage.

Et depuis lundi, c’est le retournement de situation puisque tu t’entraînes avec l’Equipe de France de Laurent Blanc !
Et oui ! Michel Ettorre m’a appelé, quelques jours avant d’aller à Clairefontaine, pour m’annoncer la bonne nouvelle. Au début, j’étais vraiment surpris, puis super content ! Avec une saison aussi difficile, je n’aurais pas pensé que l’on fasse appel à moi. Le fait que mon nom sorte et que l’on me fasse confiance veut dire qu’on a pensé à moi.

Tu as été appelé en renfort car les trois gardiens titulaires, Hugo Lloris, Steve Mandanda et Cédric Carrasso, ne rejoignent le groupe que jeudi. N’as-tu pas l’impression d’être là pour combler ?
Des personnes comme Franck Raviot (entraîneur des gardiens de l’Equipe de France, NDLR) ont été très claires avec moi, et m’ont expliqué pourquoi j’étais là. Mais moi, je suis tellement content d’avoir été appelé que je fais de mon mieux. Je ne me dis pas que je suis une doublure, mais plutôt que je peux apporter mon aide à l’équipe !

Tu te mesures à de grands joueurs…
Je voulais me « mesurer » à Karim Benzema qui est l’un des plus grands attaquants du Monde. Pour l’instant, je n’ai pas encore pu le faire car il est arrivé plus tard et parce qu’il est blessé. Je suis fan de l’Equipe de France car ce sont des joueurs que j’admire. Ils m’ont accueilli comme un pote. J’ai donc beaucoup de respect envers eux. L’Equipe de France, c’est « le must », c’est pour moi l’une des meilleures équipes au Monde.

Avec l’ancien Rennais Simon Pouplin, qui a été appelé pour tenir le même rôle que toi, faites-vous partie intégrante de l’Equipe ?
Nous logeons juste à côté. Mais, le soir, nous nous retrouvons au château pour passer des bons moments, comme pour regarder des matchs ou pour partager des activités. Nous ne sommes donc pas mis à l’écart.

Que ressens-tu de t’entraîner par de tels joueurs ?
Lors des séances, je n’y pense pas trop car c’est notre travail. On ne se dit pas « Je peux arrêter une frappe d’Hatem Ben Arfa ou de Samir Nasri ! », mais plutôt « Je dois arrêter la frappe ! ». Mais ce qui m’a le plus marqué, c’est la première rencontre avec les joueurs. Je leur ai serré la main dans le vestiaire, c’était impressionnant !

Source : rclens.fr

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