Quand Molinari et Martel se rencontrent...

... la bonne humeur est présente. Comme le confient les deux présidents dans Le Républicain Lorrain, c'est une franche camaraderie qui les unit, même si les succès lensois l'ont souvent été au détriment de Metz.

 


Carlo Molinari : « Ça fait un moment qu’on bourlingue ensemble. Même si Lens ne nous a pas beaucoup réussi, comme je dis toujours, il vaut mieux être battu par des amis ! » « Avant, on se battait sur des vraies valeurs, maintenant, vous regardez les masses salariales et vous avez le classement. » « Avec Gervais, t’es obligé de rire. Il a un catalogue d’histoires belges impressionnant ! » « Au fait, Gervais, tu diras à Jocelyn que je veux le voir. Pour lui rappeler que j’ai fait signer un contrat de non-sollicitation à son gamin, quand il avait un an. Il me doit de l’argent… »

Gervais Martel : « Metz évoque pour moi les deux plus beaux souvenirs de ma vie de président. Bon, malheureusement pour Carlo, ça s’est mal passé deux fois pour lui. » « Avec Carlo, à la Ligue (dans les réunions de la Ligue professionnelle de football), qu’est ce qu’on se marrait. Maintenant, dans le foot, on se marre presque plus… » « On n’est pas des présidents délégués ! On aura tout vu dans le foot. Vous vous rendez compte, il y a même des présidents qui changent de club ! Nous, on y met tout notre temps, toute notre énergie et notre argent ! »

 

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