Bergdich à la place de Baal

Jean-Louis Garcia a indiqué hier que Bergdich évoluerait au poste de la latéral gauche face à Sedan en lieu et place de Baal (suspendu). Plus largement, il évoque les points à améliorer dans le dispositif tactique lensois.

Jean-Louis, avec toutes ces indisponibilités, vous n'avez toujours pas la possibilité d'aligner le même onze de départ...

Oui, c'est embêtant. Mais, par rapport à la rencontre que l'on a jouée lundi dernier, on va quand même essayer de s'appuyer sur une structure la plus identique possible. Sincèrement, je pense qu'il faut que l'on se base sur ce match, et notamment sur la première mi-temps où l'on a vu des choses très très intéressantes. Après, Ludovic Baal étant suspendu, il va falloir être cohérent dans les choix. Zakarya Bergdich va faire sa rentrée au poste de latéral gauche. Je ne crois pas que ce soit le moment d'inventer des choses. On va essayer de garder une vraie continuité par rapport à ce qui a fonctionné à Nantes, même s'il y aura un ou deux changements, poste pour poste... Là, on a utilisé un véritable 4-3-3 en début de match, pour la première fois. Cela nous a apporté des satisfactions, et notamment une belle densité, une belle occupation en milieu de terrain. On va donc essayer de bonifier cela. Il reste des choses à travailler. Il faut être capable d'amener du monde devant le but, autour de notre avant-centre, notamment dans les phases de domination. Peut-être qu'à Nantes, sur deux ou trois situations vraiment très intéressantes où le ballon est passé devant le but, il nous a manqué un joueur supplémentaire, même si, dans la préparation, on a été très bons. On va travailler là-dessus... Mais c'est vrai que l'idée est de trouver une certaine stabilité dans la composition d'équipe pour que l'on trouve des repères et des automatismes. Aller vers ce que l'on appelle une équipe type.

Ce qui n'est pas simple à faire...

Non, ce n'est pas simple. Il faut s'adapter aux situations. Mais bon, vraiment, aujourd'hui, il faut rester positif. Dans cette période, on ne peut pas se permettre de pleurnicher sur son sort, sur les absents, les blessés. Il faut faire le dos rond. On est effectivement dans le tunnel mais, ce que j'ai vu à Nantes, ressemble à une belle lumière. Véritablement, ce n'est pas possible de réaliser des matchs comme celui de lundi dernier sans se mettre à prendre des points. Il faut s'accrocher à cela.

Source : rclens.fr.

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