Decoupigny : « Onze matchs qu'il faut aborder comme des finales »

Dans La Voix du Nord, le président du 12 Lensois, Didier Decoupigny, revient sur les propos récents de Gervais Martel, indiquant qu'il resterait à la tête du Racing même en Ligue 2, et évoque l'été prochain, notamment en cas de relégation du Racing.

- Que vous inspirent les déclarations de Gervais Martel cette semaine qui a affirmé qu'il resterait aux commandes, même en L2 ?
« L'après-juin ne sera pas un problème de personne mais de collectif. Et surtout, que Gervais Martel ou un autre soit là en juin, ce n'est pas la problématique du jour. Il reste onze matchs qu'il faut aborder comme des finales à gagner, jouer notre va-tout et ne pas se contenter d'un point ici ou là. La question du moment est plutôt : que va-t-on sortir comme solution du chapeau pour se sauver ? Je n'ai aucun contact à ce sujet avec les dirigeants du club. Je n'ai aucun contact avec la grande famille de Lens. Je ne la reconnais plus. Nous avons, avec le public, une magnifique force de frappe. Nous pouvons faire quelque chose. Mais nous ne sommes pas non plus des machines. Je ne vois pas le Racing être relégué à trois journées de la fin et Bollaert continuer à chanter. »

- En l'état actuel des choses, faut-il donner la priorité aux joueurs qui ont un avenir au club ?
« La solution est de donner la primeur à ceux qui ont la "niaque". Il faut trois-quatre meneurs d'hommes pour mobiliser tout le groupe. Tout est encore possible. »

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