RC Lens - Châteauroux : l'avis de MadeInLens
- Écrit par La Rédaction
Défait au Havre samedi dernier (2-1), le RC Lens aborde une nouvelle journée de championnat - la 13e - et reçoit ce samedi la Berrichonne de Châteauroux. Un challenge somme toute différent face à un mal classé en quête urgente de points et qui compte à sa tête un nouvel entraîneur, Nicolas Usaï.
Les Sang et Or vont-ils repartir de l'avant et évacuer la défaite en Normandie ? Nicolas Pérez et Nicolas Zatti, chroniqueurs pour MadeInLens, nous donnent leur avis sur cette rencontre.
L'avis de Nicolas Pérez
Depuis le début de saison, le Racing Club de Lens baignait dans une douce euphorie, galvanisé par une probante série de résultats. Le groupe de Philippe Montanier est revenu sur terre après une défaite au Havre. Au delà du résultat, c'est surtout la pâle copie qui a pu interpeller.
L'occasion de redorer son blason avec la réception de la berrichonne de Châteauroux est trop belle. Toujours invaincus sans encaisser de but à Bollaert-Delelis, les Sang et Or comptent bien continuer cette série.
Les Castelroussins apparaissent fragiles après l'éviction de Jean-Luc Vasseur. Le dernier club venu introniser son nouveau coach en Artois est le Gazélec, qui est reparti avec 5 buts dans la valise.
Le pronostic de Nicolas Pérez : Je ne vois pas un tel écart mais une victoire 2-0 pour remettre la marche avant.
L'avis de Nicolas Zatti
Malgré la défaite au Havre samedi dernier, le Racing a conservé sa deuxième place. Pour cela, les Sang et Or ont bénéficié de circonstances favorables puisque Brest n’a pas réussi à profiter de la situation. Ce week-end, par contre, le faux pas est interdit.
L’adversaire de ce samedi, la Berrichonne de Châteauroux, qui a connu un récent changement d’entraîneur (exit Jean-Luc Vasseur), vient de résister à l’AC Ajaccio (2-2).
Toutefois, le Racing sera revanchard. Soutenus par près de 30.000 supporters, les Lensois ne doivent pas tergiverser dans ce type de rencontre s’ils veulent maintenir leur niveau d’ambition.
Le pronostic de Nicolas Zatti : Dans ces circonstances, je vois bien un succès artésien par plus de deux buts d’écart.