3.000€ d’amende et des frais de réparation pour le RC Lens après les dégradations face à Nogent-sur-Oise

Coupe de France FFFLe 17 novembre dernier, le RC Lens se déplaçait à Beauvais pour y affronter Nogent-sur-Oise (Régional 1) pour le compte du 7e tour de la Coupe de France (0-2). Une rencontre qui avait été émaillée de quelques incidents, provoqués autant par des supporters locaux que par des supporters lensois en déplacement. Ainsi, les sanctions de la Commission de discipline de la Fédération Française de Football ont été communiquées au club nogentais et se montrent un plus sévères à l’égard du club sang et or.

Le Racing a en effet été condamné à une amende de 3.000€ et à rembourser les frais de réparation suite aux dégradations commises par des supporters dans le parcage, indique Le Parisien. Trois sièges avaient été brûlés et un arraché. Des engins pyrotechniques avaient été également été utilisés provoquant une épaisse fumée, même si l’interruption de la partie pour une dizaine de minutes fut le fait de gaz lacrymogènes. Des sanctions auraient été prises par le club lensois à l’égard des supporters en question, explique le quotidien, et ceux-ci ne devraient pas pouvoir se déplacer à Beauvais pour y affronter le Red Star, le 14 janvier prochain.

Côté nogentais, des projectiles avaient notamment été lancés sur la pelouse et près du banc lensois par des supporters locaux. Ces derniers devraient difficilement être identifiés malgré la plainte déposée. À son grand soulagement, le club isarien, qui avait eu du mal à rentrer dans ses frais en raion d'une mauvaise affluence, n’a écopé que de 300€ d’amende et échappe à des sanctions sur le plan sportif. Le manque à certaines obligations dans l’organisation de la rencontre, soulevée par la déléguée, n’a pas non plus été retenu. « On s’en sort plutôt bien, se réjouit Joël Rojas, président de l’US Nogent. J’avais fait un rapport en essayant d’expliquer que c’était la première fois que nous organisions un tel match, qu’on découvrait ce niveau. Nous n’étions pas complètement au fait de toutes les obligations, donc nous avons plaidé non-coupable. J’ai l’impression que nous avons été entendus. Cela aurait pu être pire. »

Source : Le Parisien


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