Bölöni : « Il n'y a rien à perdre mais on a des choses à gagner»

Sur le site de La Voix des Sports, Laszlo Bölöni revient sur la trêve et se projette sur la réception de l'OM qui ne l'impressionne pas..

- Comment avez-vous meublé cette trêve ?
« On s'est préparé le mieux possible pour être au rendez-vous de dimanche. Il fallait une grosse charge physique pendant le stage. On aurait aimé avoir une journée de plus de stage. Les joueurs ont répondu présents. Le travail a bien été digéré. Le match face à Boulogne m'a donné des informations sur certains joueurs et sur la voie à suivre. C'était une rencontre qui entrait dans une politique de post-formation et qui a permis à certains éléments de prendre du temps de jeu ».

- Auriez-vous préféré ne pas avoir de coupure pour profiter de la bonne dynamique née à Montpellier ?
« Je ne peux pas vous répondre. On savait qu'on aurait une coupure. Il fallait combler ce temps libre. On a choisi le lieu et programmé ce stage. Nos adversaires se sont également arrêtés ».


- Au niveau moral, cette victoire à Montpellier a fait du bien...
« Quand on gagne, le travail passe mieux. Ce ne serait pas correct de dire que cette victoire n'a rien changé. Personnellement, j'ai revu le match. Et on a quand même connu un manque d'efficacité dans le jeu en deuxième période. On a souffert davantage. J'ai aussi pris note de ça ».

- Comment voyez-vous l'affiche de dimanche ?
« Marseille est un match un peu spécial. Il se jouera dans un stade plein. L'OM est l'équipe la plus populaire du championnat. Mais, pour nous, ça ne change rien. Tous les matchs ont la même importance ».

- Que pensez-vous de cette équipe de l'OM ?
« Marseille n'a pas toujours la même régularité. Mais c'est un club qui doit toujours être dans le haut de tableau. Cette équipe n'est pas simple à manoeuvrer. On peut sacrifier des joueurs offensifs. L'OM ne m'impressionne pas spécialement cette saison ».


- Vous avez la pression sur ce match ?
« Il n'y a rien à perdre mais on a des choses à gagner. On a cette obligation : gagner. On ne peut pas se permettre d'y aller pour regarder la fête. On doit y aller pour participer au repas ».

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